• Ça percute à la NEMA

    Mercredi 23 mars, les participants à l’atelier NEMA (Youssef, Mika, Alexi, Nicolas, Yohan et Lucie) sont allés dans une plus grande salle, à côté du Centre Le Bournot. Nous n’étions pas les seuls à venir ; pour la 2ème fois, nous avons fait la séance avec des adultes du foyer de vie Les Oliviers, de Lachapelle.

    Au programme : des percussions. Conga (ou congo), balafon, sanza, batterie, sistre…

    Mais que sont tous ces instruments ? Le conga (photo avec Lucie et Nicolas) est d’origine africaine. On le trouve aussi en Amérique Centrale (Mexique par exemple). Ça ressemble à un tam-tam ; une caisse allongée, posée sur des pieds, sur lequel on tape avec les mains.

    Ça percute à la NEMA

     

     

     

     

     

     

    Ça percute à la NEMALe balafon (photo avec Mika) vient d’Afrique du Sud. Il ressemble à un gros xylophone. On tape sur des bouts de bois plus ou moins allongés avec des baguettes. Plus le bois est allongé, plus le son est grave. Sous les bois, il y a des calebasses qui permettent de faire sortir le son.

     

    Le sanza (photo avecYohan) vient aussi d’Afrique. On l’appelle le piano à pouces, car on utilise les pouces pour appuyer surÇa percute à la NEMA les lamelles en fer pour produire des sons. Les sons varient, comme pour le balafon, en fonction de la taille des lamelles.

     

     

     

     

     

     

     

    Ça percute à la NEMALe sistre a été créé en Egypte, donc aussi en Afrique. C’est un manche sur lequel est accrochées des petites cymbales. Il suffit de le remuer pour faire des sons.

     

     

    Mireille avait amené un bâton de pluie (joué par Nicolas, derrière Youssef au congo). Comme son nom l’indique, c’est un bâton dans lequel on trouve des graines, des billes, qui imitent la pluie qui tombe quand on renverse le bâton.Ça percute à la NEMA

    Ça percute à la NEMATout le monde connait la batterie (jouée sur la photo par Alexi). Elle se compose d’un charleston (cymbales à pédale), des caisses claires, une grosse caisse.

    Qui dit percussions dit « percuter ». Donc pour jouer des percussions, il faut taper sur des objets pour faire des sons, du bruit. Les percussions sont très utilisées dans plein de styles de musique, ancienne ou récente. Alexi pense bien sûr à la batterie au rock n’ roll.

     

     

     

    Les percussions donnent un rythme, se répètent, ce qui permet aux musiciens de se repérer. Mais les percussions sont parfois utilisées seules, comme en batucada. Ça donne envie de danser, de bouger, de faire la fête. Ce qui procure ces envies, c’est aussi les vibrations que nous ressentons dans notre corps pour Alexi.

    Les percussions viennent beaucoup d’Afrique, mais ont voyagé à travers le monde. Les bruits, les sons de ces percussions sont universels, pour jouer, danser, chanter, faire des cérémonies, des rites, des prières…

    Alexi : "Pas mal. Le concert approche. Je pense que je vais me sentir bien".

    Nicolas : "ça se passe bien avec Mireille. J'aime taper avec des baguettes, faire le bâton de pluie et le congo". Le concert ? "Je le sens bien".

    Youssef : bien la séance? "Oui". Il a le sens du rythme ! Chez lui, il a une guitare et des percussions. ça se voit car il sait s'en servir !

     

    Dans le cadre du concert que nous allons faire le 14 mai, nous retrouverons ce thème des percussions, ainsi que les résidents du foyer de Lachapelle.  Nous vous en dirons plus en temps voulu…


  • Commentaires

    1
    laterza Isabelle
    Dimanche 3 Avril 2016 à 18:17
    Superbe journée avec nos champions, une pluie de médailles pour le foyer !!
    2
    Laurence
    Lundi 20 Juin 2016 à 08:19

    Vous êtes prêts pour vous produire à la fête de la musique !!!!

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